Comme beaucoup d’entre vous le savent, Google et le DoJ (Département de la Justice) sont au milieu d’une affaire antitrust aux États-Unis. Récemment, Yelp et une coalition d’agences de presse ont demandé au juge de retirer les avocats de Google de l’affaire antitrust.

Yelp veut que le juge retire les avocats de Google de l’affaire antitrust en cours

Qu’est-il exactement arrivé? Eh bien, pour être plus précis, Yelp a demandé que l’ensemble d’un cabinet d’avocats américain soit retiré de l’affaire. Yelp et la coalition affirment que l’entreprise est en conflit d’intérêts, car elle était auparavant leur défenseur sur les questions liées à l’affaire.

Cette demande fait référence au cabinet d’avocats Paul, Weiss, Rifkind, Wharton & Garrison. Il convient également de noter que Yelp et News/Media Alliance sont les cibles des assignations à comparaître de Google, et non les défendeurs dans cette affaire.

Pourquoi sont-ils là ? Eh bien, Google essaie de prouver qu’il n’a pas abusé de sa position dominante sur le marché en matière de publicité sur le Web. Yelp est un site dont vous avez probablement entendu parler, c’est un site de recommandation de services. Beaucoup d’entre vous l’ont probablement utilisé jusqu’à présent.

Le porte-parole de Paul Weiss n’est pas d’accord avec Yelp

Cela dit, un porte-parole de Paul Weiss n’est pas d’accord avec Yelp. Ils considèrent leur présence comme tout à fait appropriée, ou « appropriée à tous égards », comme il le dit. Ni Google ni Yelp n’ont fait d’autres commentaires.

Aux fins de l’essai, Google souhaite obtenir des informations spécifiques de Yelp. La société souhaite que Yelp partage des informations sur son activité de technologie publicitaire et sur d’autres sujets. La société demande également les lettres de mission, les factures et les factures liées à ses liens avec Paul Weiss, dans le but de lutter contre la demande de Yelp visant à retirer l’entreprise de l’affaire.

Cette affaire antitrust a débuté il y a environ deux semaines et elle est omniprésente. Google tente de prouver qu’il n’a pas abusé de sa position dominante sur le marché, tandis que le DoJ est du côté opposé. Le procès devrait d’ailleurs durer environ deux mois.

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