À l’heure actuelle, nous sommes au milieu d’une énorme course à l’IA, et les grandes entreprises font de leur mieux pour conserver leurs meilleurs employés. Apparemment, c'est tellement vrai qu'un cofondateur de Google a directement contacté un employé pour l'empêcher de quitter le navire. Sergey Brin, l'un des cofondateurs de Google, a convaincu l'un des employés de Google de ne pas partir via un appel téléphonique personnel.

Les salariés qui quittent l’entreprise pour occuper différents postes ne sont pas quelque chose de nouveau. Le fait que la technologie de l’IA soit en plein essor ne fait qu’exacerber cette situation. Par exemple, Mark Zuckerberg a personnellement contacté plusieurs employés de Google pour les inciter à rejoindre l'équipe IA de Meta.

Sergey Brin a convaincu un employé de Google de ne pas partir grâce à un appel téléphonique personnel

Le nom de l'employé en question n'a pas été dévoilé. Cependant, d'après les informations dont nous disposons, il semble que l'employé était un ami personnel de Brin. Cela donne donc l’impression que cela semble moins inattendu. Apparemment, l'employé a envisagé de prendre un poste chez OpenAI. Puisque OpenAI et Google sont à couteaux tirés, il est tout à fait naturel de supposer que Google n'est pas fan du fait qu'aucun de ses employés traverse l'étang vers OpenAI.

Nous ne savons pas exactement ce qui a été mentionné lors de l'appel téléphonique, mais nous savons que le salaire de l'employé a été augmenté. Ainsi, avec la voix familière d’un ami, et avec plus d’argent en poche, il semble que l’employé ait décidé de rester chez Google.

Il s’agit d’une tendance dans la communauté technologique où les entreprises cherchent à acquérir des personnes qu’elles pensent capables de faire avancer leurs projets d’IA. C'est également doux-amer, car bon nombre de ces mêmes entreprises abandonnent d'autres employés comme des mouches. Nous apprenons que les grandes entreprises embauchent une poignée de spécialistes de l’IA, mais nous apprenons également qu’elles licencient des milliers d’autres employés. Il va donc falloir voir où mène cette tendance.

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